Résultats de la recherche : 1
Audiences de la Cour suprême
L.M.P. c. L.S.- 20 avril 2011 No de dossier 33749 La Cour Suprême entend un appel traitant de pension alimentaire. Les parties de cet appel se sont mariées en 1988, ont eu deux enfants et se sont divorcées en 2003. Atteinte de sclérose en plaques un an après le mariage, l’appelante a cessé de travailler comme représentante de Revlon. Elle reçoit des prestations d’invalidité permanente annuelles de 16 956 $ du régime d’assurance maladie de son ex-employeur. L’intimé, avocat, gagnait 165 000 $ par an au moment du divorce en 2003. En 2007, l’appelante voulait hausser la pension alimentaire qui était près de 45 000 $ pour elle et près de 10 000 $ pour les enfants par an. L’intimé soutient que l’appelante ne faisait aucune recherche d’emploi même si elle était capable de travailler en dehors du foyer. La Cour supérieure du Québec et la Cour d’appel du Québec ont jugé que la pension alimentaire de l’appelante devrait être réduite.