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La semaine avec Mark Sutcliffe
5 février 2012
Mark récapitule les faits marquants de l’actualité politique nationale cette semaine en compagnie des journalistes ci-dessous. Il encourage les téléspectateurs à commenter, eux aussi, les sujets ayant fait la manchette cette semaine. Invités à l’émission cette semaine : -Althia Raj (chef du bureau d’Ottawa du Huffington Post Canada); -Andrew Cohen (auteur, chroniqueur et professeur à l’École de journalisme et de communication de l’Université Carleton). Écoutez leur discussion et appelez-nous ou allez sur Twitter pour commenter les sujets suivants : Retraites in péril : D’éventuels changements au programme de Sécurité de la vieillesse pour les aînés ont déclenché un vigoureux débat qui a duré toute la semaine sur la Colline parlementaire et d’un bout à l’autre du pays. Le gouvernement devrait-il dévoiler plus de détails sur ses projets pour les aînés ? Les prestations de retraite devraient-elles figurer au nombre des programmes à étudier pour les réductions envisagées dans le prochain budget fédéral ? Crimes d’honneur : Trois condamnations pour meurtre au premier degré — tel a été le verdict au procès Shafia, à Kingston, en Ontario. Quelle est l’ampleur du problème des crimes d’honneur ? Peut-on en faire davantage pour les prévenir ? Devrait-on inclure des dispositions spéciales dans le Code criminel pour en tenir compte ? Avenir de l’Afghanistan : D’après un rapport de l’OTAN ayant fait l’objet d’une fuite, les Talibans reprendront le contrôle de l’Afghanistan malgré les dix ans de sacrifices faits et d’efforts déployés par l’Alliance dans ce pays. Le ministre canadien de la Défense s’interroge sur la crédibilité de ce rapport. La guerre en Afghanistan en a-t-elle valu la peine ? Le Canada a-t-il payé un tribut trop lourd ? La stratégie de retrait de l’OTAN est-elle bien conçue ? Propos controversés : Un sénateur conservateur a rouvert le débat sur la peine de mort lorsqu’il a déclaré que chaque assassin devrait avoir droit à une corde dans sa cellule ayant ainsi le choix de décider de sa vie. Pierre-Hugues Boisvenu s'est rétracté et excusé depuis lors. Le sénateur est-il allé trop loin ou devrait-on ouvrir un nouveau débat sur ce sujet délicat ?